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Le Canada est le Québec

Le Québec est le Canada

Vive le Québec !

Vive le Canada !

Vive le Canada libre !

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Bienvenue sur Canada Libre.

Notre but est de rappeler et d’expliquer que nous, les Québécois et autres Canadiens francophones, incarnons l’essence et le sens du terme Canadien. Nous voulons montrer l’importance de cela dans les enjeux nationaux, principalement ceux Québécois, auxquels nous sommes confrontés.

Notre intention n’est pas de changer le nom actuel de notre peuple ni celui du pays qu’il voudra peut-être se donner un jour. Nous voulons cependant expliquer, raconter et discuter nos racines profondes pour défaire la confusion entretenue dans le discours ambiant en rapportant des textes de référence pertinents ainsi que des textes divers illustrant la réalité et l’histoire de notre peuple et de notre patrie

Voyez l’introduction afin de mieux connaître ce site, 

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Ajouts récents :

2 avril : Pourquoi le Québec a échoué

26 décembre : Premier Traité de l’histoire de la Nouvelle-France en Amérique

2 juin : 4134 morts dans les pensionnats autochtones au Canada

28 mai : Canada. Les restes de 215 enfants retrouvés sur le site d’un ancien pensionnat

18 janvier : IRISH: The forgotten white slaves

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Pêle-mêle (différents textes et sujets) :

– Commentaires et réflexions

– La manipulation de notre histoire – Nous sommes le peuple fondateur du Canada

– à venir ..

– Dépenses illégales pour le NON, jugement du DGEQ

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Commentaires et réflexions

« Un arbre qui perd ses racines n’a qu’un destin à très court terme : la mort. »

C’est pour cela que les anglos-impérialistes ont pris notre nom et nos symboles et que les soumissionistes disent qu’il faut cesser de voir le passé.

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« Pour liquider les peuples, on commence par leur enlever la mémoire »
– Milan Kundera,  Livre du rire et de l’oubli

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La manipulation de notre histoire

Christian Dufour, vendredi 31 août 2001

Nous sommes le peuple fondateur du Canada

Pour préparer véritablement l’avenir, en arriver à modifier des comportements dépassés dont les racines sont profondes, on gagne à savoir ce qui est réellement arrivé, pourquoi tel ou tel réflexe fut jadis adopté. C’est l’un des moyens d’éviter de rester prisonnier de son passé, de se donner l’illusion du changement ou, sous les nouvelles chimères à la mode, de changer pour pire. C’est ce que sont en train d’oublier un certain nombre d’intellectuels québécois férus de rectitude politique. Pour être capable de regarder en avant, il faudrait diffuser une vision conciliatrice mais fausse de notre histoire, fabuler quant à nos rapports avec l’Anglais et avec l’Indien. Il faudrait surtout oublier ce fait capital que les Québécois francophones furent les premiers Canadiens.

Car sur le plan de la construction de l’identité canadienne, il n’y a pas trois ou même deux peuples fondateurs au Canada: il n’y en a qu’un, formé des ancêtres directs des francophones québécois d’aujourd’hui, les seuls qui s’appellent et se considèrent Canadiens depuis un siècle lorsque arrivent les Britanniques en 1763. Ils cohabitent alors avec les premiers occupant du territoire, les Amérindiens, à qui il ne viendrait jamais l’idée de s’appeler Canadiens, car le processus de «canadianisation» de leur identité ne commencera qu’au milieu du XXe siècle. Aux Canadiens se joignent des Britanniques qui mettront, eux, un peu plus d’un siècle à se sentir Canadiens – à la fin du XIXe siècle, à l’époque du premier ministre canadien Wilfrid Laurier.

Si l’on oublie ce déchirant deuil à faire d’une identité canadienne qu’ils ont mise au monde, il est impossible de comprendre la grande difficulté des francophones québécois à décrocher contre toute logique du Canada. Comme le montre la profonde ornière où nous sommes collectivement enlisés sur le plan politique, les Québécois se bercent déjà trop d’illusions sur eux-mêmes et sur leur rapport avec le reste du Canada. La solution n’est sûrement pas de se conter encore plus d’histoires. Elle ne réside pas dans ces futiles réécritures du passé qui affaiblissent notre force d’enracinement, ne laissant que du sable sur lequel bâtir le Québec de demain.

Christian Dufour est professeur à l’École nationale d’administration publique. Ce texte est tiré d’un article qui paraîtra dans le prochain numéro de la revue Argument.

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Quelqu’un a dit « Le problème du Québec, c’est qu’on ne veut pas trancher une bonne fois pour toute : soit on reste dans le Canada et on s’implique, soit on se sépare et on se prend en main. »

Le problème est la confusion entretenue qui fait que les gens n’ont pas de direction claire qui puisse être déduite du contexte actuel.

Il faut appeler les choses par leurs noms pour défaire la confusion.

Nous sommes le Canada.  On ne peut pas se séparer de nous-mêmes.

Notre patrie est sous occupation étrangère. Depuis 250 ans.  L’occupant n’a jamais eu la moindre intention de s’intégrer à nous.

La souveraineté de notre peuple n’est pas une question de séparation mais bien de libération.

Alors : On reste Canadien, on s’implique, on se prend en main et on se débarrasse du pouvoir impérialiste du canada-des-anglos.

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jvaao dit : « Il est juste d’utiliser les bon termes et de cesser d’essayer d’endormir le monde. »

Donc : Ne pas dire Canadiens quand on parle des anglos

Ne pas chanter le Ô Canada en anglais

Ne pas faire accroire que le Canada existe seulement depuis 1867

Ne pas cacher que les vrais Canadiens – ceux qui parlent le français – et les autochtones sont les seuls peuples fondateurs du Canada

Ne pas cacher que le Canada a été envahi par les anglais et qu’il est toujours sous occupation aujourd’hui

Ne pas cacher que l’occupant anglo-impérialiste a usé de déportation, d’apartheid, d’internements et autres crimes contre l’humanité pour imposer son pouvoir et sa domination sur les autochtones, les Acadiens et les vrais Canadiens et pour les faire disparaître

Etc.

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Tant que le Québec était officiellement bilingue, sa population devenait de plus en plus unilingue anglophone.  Depuis l’unilinguisme officiel du Québec, sa population est de plus en plus bilingue.

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« Tous les efforts sont faits pour amener le colonisé à confesser l’infériorité de sa culture transformée en conduite instinctive, à reconnaître l’irréalité de sa nation et, à l’extrême, le caractère inorganisé et non fini de sa propre structure biologique. Face à cette situation, la réaction du colonisé n’est pas univoque. Tandis que les masses maintiennent intactes les traditions les plus hétérogènes à la situation coloniale, tandis que le style artisanal se solidifie dans un formalisme de plus en plus stéréotypé, l’intellectuel se jette frénétiquement dans l’acquisition forcenée de la culture de l’occupant en prenant soin de caractériser péjorativement sa culture nationale, ou se cantonne dans l’énumération circonstanciée, méthodique, passionnelle et rapidement stérile de cette culture. »

– Frantz Fanon, Les damnés de la terre

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Le colonisé a l’impression que la seule façon d’exister est de servir aveuglément son maître contre son peuple.

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Quelqu’un dit  » je suis du parti des indécis  »

Je l’ai déjà été moi aussi alors je sais ce que c’est. On peut remettre le jugement à plus tard et vivre sa vie quand-même.

Tout-de-même, quand on les compare aux Québécois allophones et anglos, aux anglos du reste du Canada ainsi qu’à pratiquement tous les peuples de la terre, les Québécois francos ont ceci de particulier qu’ils se demandent le plus sérieusement du monde si la souveraineté est bonne ou pas.

Ce qui est une évidence pour le reste de l’humanité ne l’est pas pour nous.

Si vous devez réfléchir à quelque chose aujourd’hui, que ce soit ceci : La souveraineté est ESSENTIELLE et INCONTOURNABLE car elle existe toujours et partout.  La souveraineté c’est le pouvoir.  Soit on le détient soit on l’abandonne à d’autres qui en profitent à leur avantage souvent, et nécessairement, contre nos intérêts

Tous les peuples de la terre comprennent cela.

Donc, la question ne devrait pas être de savoir si la souveraineté est bonne ou pas mais bien de décider si on la laisse traîner pour que d’autres aient le pouvoir sur nous ou bien si on s’en empare pour notre propre bien.

La solution de tout problème est beaucoup plus facile à discerner si on le pose correctement.

Bonne réflexion.

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« Le colonisé souffre d’un mal qui le fait se sentir aussi puissant que son maître »

– Gilles Proulx

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« L’être humain a une capacité d’adaptation tellement grande qu’il peut devenir absurde de lui parler de ses chaînes. »

– Gilles Vigneault

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Réflexion du 24 juin 2013 ;

Quand on se sera débarrassé du pouvoir étranger qui contrôle notre patrie, il n’y aura plus de place au pouvoir pour les fédéralistes.

Quand on se sera débarrassé du pouvoir étranger qui contrôle notre patrie, les trolls dénigreurs de tout ce qui est Québécois, francophone et souverainiste se tairont enfin parce que ceux-là ne font que servir les maîtres et nous serons alors maîtres chez-nous.

Quand on se sera débarrassé du pouvoir étranger qui contrôle notre patrie, on n’aura plus besoin de remettre en question à chaque année la célébration notre fête nationale.

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JVousAiaLOeil dit « Je pense écrire un livre. Les Ploucs du Québec qui démontre les liens entre les séparatistes et les ploucs. Ces gens qui n’ont pas évolués au même rythme que le reste du monde. Il me fera plaisir de venir vous demander d’autographié un des livres dont vous aurez surement inspiré un des paragraphes, sinon un chapitre entier. Et vous aurez alors le plaisir de commenter sur mes propos. »

Canada Libre : Je peux commenter dès maintenant ;

Le monde contemporain est fait de peuples vivant dans des pays séparés et souverains. Y inclus tes maîtres anglos que tu adules avec tant de zèle.

Le monde est séparatiste et c’est une tendance actuelle – post-moderne – puisque la plupart des deux cent quelques peuples souverains d’aujourd’hui ne l’était pas il y a un siècle.

De toute l’humanité, il ne reste guère plus que vous, les soumissonistes colonisés du Québec, à vouloir, désirer et demander la domination d’un peuple étranger sur le notre. Vous êtes une espèce de restant du moyen-âge qui s’ennuie du servage et des cens. 

Si tu veux, tu peux mettre ce texte sur le verso de la couverture de ton prochain livre sur les ploucs.

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Le rêve secret de nombre de chroniqueurs canadiens-anglais est de voir la «colonie» se transformer peu à peu en «réserve»

Le Devoir, 27 juin 2013 | Luc-Normand Tellier – Professeur émérite, Département d’études urbaines et touristiques, ESG, UQAM | Québec

..  je sais avec une absolue certitude :

1. que les fédéralistes canadiens ont gagné le référendum de 1995 au Québec (fort probablement en recourant à des stratagèmes illégaux contrevenant à la loi québécoise qui exigeait que les camps du Oui et du Non respectent un même plafond de dépenses) ;

2. que le Québec s’approche du cent cinquantième anniversaire de son appartenance à la Confédération canadienne ;

3. que le Québec est devenu, dans ce contexte, aux yeux de tant de Canadiens anglais : « Une petite province profondément endettée, dépendant du flux des subventions fédérales, à l’économie faible et dominée par l’État, une société corrompue des pieds à la tête tentant péniblement de survivre au milieu d’économies beaucoup plus importantes et performantes ne prêtant aucune attention à ses inquiétudes culturelles » ;

4. que, chaque semaine, à travers le Canada anglais, de multiples chroniqueurs rédigent des douzaines de textes traînant le Québec dans la boue et de textes méprisants pour les Québécois ;

5. que la corruption ambiante au Québec est à 99 % fédéraliste, les Michael Applebaum, Frank Zampino, Lino Zampito, Robert Abdallah, Nicolo Milioto, Nick Rizzuto, Saulie Zajdel, Tony Accurso, Domenico Arcuri, Paolo Catania, Jean-Yves Bisson, Gilles Vaillancourt, Claude Asselin, Richard Marcotte, Claude DeGuise, etc. soupçonnés de corruption étant tous fédéralistes et, le plus souvent, libéraux ;

6. qu’un très grand nombre des corrupteurs allégués du Québec ont été éduqués en anglais comme l’ont été Michael Applebaum, Frank Zampino, Lino Zampito, Nicolo Milioto, Nick Rizzuto, Saulie Zajdel, Tony Accurso, Domenico Arcuri, Paolo Catania et la majorité des mafiosi du Québec ;

7. que le Canada anglais et le gouvernement fédéral ont rarement eu de scrupules à pactiser avec les plus corrompus quand il s’est agi de « mettre le Québec à sa place » (comme en fait foi l’affaire des commandites).

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Définition d’impérialisme

Etymologie : du latin imperare, commander.

L’impérialisme est la politique d’un pays qui cherche à conserver ou à étendre sa domination sur d’autres peuples ou d’autres territoires. Les visées d’expansion d’un régime impérialiste peuvent se faire directement ou par l’intermédiaire de sphères d’influence. Le colonialisme est une forme d’impérialisme.

http://www.toupie.org/Dictionnaire/Imperialisme.htm

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impérialisme, nom masculin

Sens Politique menée par un Etat en vue de dominer d’autres états [Politique].

http://www.linternaute.com/dictionnaire/fr/definition/imperialisme/

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IMPÉRIALISME, subst. masc.

A. − Tendance favorable au régime impérial, à tel empereur ou à telle impératrice. 

B. − Tendance à constituer un empire; tendance d’un État à mettre d’autres États sous sa dépendance politique, économique, culturelle; 

C. − Toute domination, toute suprématie exercée par quelqu’un ou quelque chose (institution, théorie) sur une personne ou une chose. 

http://www.cnrtl.fr/definition/impérialismeImpérialisme

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La décanadianisation du Québec s’accélère

Identité des résidents du Québec
Identité des résidents du Québec

Identification nationale des habitants du Québec (2010) :

– 16 % : Canadien seulement ou Canadien d’abord
– 20 % : Canadien et Québécois également
– 60 % : Québécois seulement ou Québécois d’abord

.. si on se concentre sur les seuls francophones, le tableau est encore plus frappant:

– 1 % : Canadiens seulement
– 7 % : Canadiens d’abord
– 20 % : Également Canadiens et Québécois
– 40 % : Québécois d’abord
– 31 % : Québécois seulement

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Quelqu’un dit « un pays de démocratie, de justice et d’égalité comme le Canada »

Voyons ça : 

– Déportation des Acadiens;
– massacre des Autochtones et des Métis;
– package des survivants dans des camps de concentration;
– internement forcé de plusieurs générations d’enfants autochtones dans des institutions d’assimilation où ils étaient battues jusqu’à ce qu’ils parlent anglais sinon tués;
– famines imposées à titre « d’expériences médicales »;
– apartheid anti-Canadien de législations interdisant le français dans toutes les provinces et territoires hors Québec jusqu’à éradication effective des francophones de ces régions;
– ségrégation économique systématique contre les non-anglos;
– asservissement de nos ancêtres au niveau de nègre-blanc. Jusqu’à l’accession au pouvoir du PQ, en 1976, les indicateurs socio-économiques des Canadiens (français) – taux de mortalité infantile, niveau d’éducation, revenu moyen, espérance de vie, accès aux postes de pouvoirs, etc – étaient les pires au Canada après ceux des autochtones et même pires en comparaison de ceux des anglos que ceux des noirs étasuniens comparés aux blancs;
– exils forcés de plus de la moitié des vrais Canadiens qui ont dû quitter leur patrie à jamais;
– vol de notre nom, de nos symboles identitaires et de notre hymne nationale;
– fédération imposée sans consentement;
– charte des droits imposée sans consentement;
– constitution imposée sans consentement;
– terrorisme d’état ; police fédérale espionnant la population, police fédérale commettant des vols, police fédérale posant des bombes et émettant de faux communiquées du FLQ;
– mensonges, manipulations, crimes, corruption, collusion, patronage, .. ;
– campagne constante de dénigrement dans tous les médias anglos;
– Etc.

Ça fait trois cent ans de nettoyage ethnique continu et toujours en cours contre tous ceux qui étaient au Canada avant les anglos.

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Comment discuter avec les fédéralistes

Vous voulez un débat de qualité et cela est très juste mais l’expérience, ici et ailleurs, montre que cela est très difficile avec les fédéralistes.

Il est à propos ici d’expliquer le terme fédéraliste car cela nous éclaire grandement sur la nature de ceux qui se disent partisan de cette option. On prétend faussement que le Canada-des-anglos actuel est une confédération. Cela est faux.

Confédération : «Association d’États indépendants qui ont délégué l’exercice de certaines de leurs compétences à un pouvoir central, constitué par un organisme de coordination dont presque toutes les décisions doivent être prises à l’unanimité des États membres.»

Le Canada-des-anglos est en fait un Dominion, mot inscrit qui marque le pouvoir impérialiste de la part des anglais occupants – que j’appelle anglos parce que les anglais sont en Angleterre, eux – sur tous les autres peuples en présence.

En unissant de force plusieurs provinces dominées par les anglos à la nôtre (Canada-Uni en 1840 puis Dominion of Canada en 1867), c’est notre état qui est alors mis en minorité et soumis à la règle nécessairement perdante pour nous de la représentation proportionnelle.  Le Dominion of Canada établie donc la domination impérialiste des anglos – envahisseurs occupants – sur les vrais Canadiens – nous -. Ce modèle a aussi permis de confiner les autochtones dans des camps de concentration perpétuels (réserves), de rendre le français illégal pour éradiquer les populations Canadiennes et Métis partout ailleurs qu’au Québec, de maintenir les vrais Canadiens dans une très grande misère économique les forçant soit à l’exil permanent soit à être des nègres-blancs; une main d’œuvre soumise, jetable et bon marché qui servi à développer l’économie et la richesse des maîtres occupants. De plus, le Dominion of Canada permet la collecte d’impôts et de taxes chez-nous sans nous laisser de droit de regard réel sur la disposition des sommes colossales ainsi amassées.

Voilà ce que les  »fédéralistes » supportent, encouragent et désirent perpétuer. Il semble difficile de comprendre comment on en arrive à servir ce qui nous déteste et nous détruit mais cela se résume à la mentalité du colonisé (voir cette page pour une introduction sur ce sujet).

Les fédéralistes ne reconnaissent jamais cela, évidemment. Pour se justifier, ils utilisent plutôt des arguments faux et fallacieux tels que « les anglos nous aiment », « les anglos nous donnent de l’argent », « les anglos nous apportent la démocratie et la prospérité » etc. Et, puisque ces arguments sont facilement démolis, les fédéralistes disent alors que « nous sommes un peuple inférieur », que « nous sommes incapable de gérer un pays », que « nous sommes des communistes, des socialiste, des syndicaleux », que « nous sommes racistes, xénophobes et haineux », que « nous sommes corrompus », que « nous sommes décrocheurs, suicidaires et dépendants de l’état », etc.  Ils répètent aveugkément la propagande haineuse anglo-impérialiste qu’ils assimilent faussement à la vérité.

Voilà à qui nous avons affaire.

Alors, vous pouvez essayer d’argumenter avec eux si vous voulez,  mais, moi, j’ai choisi de penser et souligner que plus ils sont mensongers, manipulateurs, dénigreurs et dégueulasses plus ils sont utiles car ils prouvent la nature malhonnête de leur position.

Tiré de http://quebec.huffingtonpost.ca/felix-pinel/pourquoi-je-n-aime-pas-le-canada_b_3534374.html

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Un enfant Égyptien de douze ans trouvé au hasard des rues comprend mieux la souveraineté et la constitution d’un état que la plupart des Québécois :

– Quel est ton nom ?

– Ali Ahmed

– En quelle année es-tu ?

– En première préparatoire (12 ans)

– Que fais-tu ici ?

– Je suis ici aujourd’hui pour aider à faire en sorte que l’Égypte ne devienne pas un jouet qui serait la propriété d’une seule personne et pour protester contre la confiscation de la constitution par un seul parti. Nous n’avons pas renversé un régime militaire pour que lui succède le fascisme théocratique.

– Fascisme théocratique ? Je ne sais pas ce que ça veut dire !

– Le fascisme théocratique c’est quand on manipule la religion pour forcer le respect de règles extrémistes édictées au nom de la religion alors que la religion de commande pas une telle chose.

– Qui t’a dit de penser tout ça ?

– Je le sais c’est tout.

– Comment l’as-tu su ?

– Rien qu’à écouter ce qui se dit tout autour, et… je me sers de son propre cerveau… (sourire) ; non sans lire les journaux, écouter la TV, faire des recherche dans Internet.

– Ainsi tu penses que le pays ne va pas bien et qu’il faut le changer ?

– Vous voulez-dire politiquement ou socialement ? … Les objectifs sociaux de la révolution sont inachevés, être maître de son économie, la liberté et la justice sociale, le chômage, la police emprisonne de manière arbitraire et aléatoire. Question justice sociale, comment se fait-il qu’un chef d’antenne gagne 30M de livres égyptiennes alors que tant de gens fouillent dans les poubelles pour manger ?

– Politiquement parlant, y a-t-il une constitution qui nous représente ?

– Par exemple, la moitié de la société est composée de femmes, comment se fait-il l’Assemblée constituante ne soit composée que de 7 femmes dont 6 sont islamistes ??

– Ainsi, tu penses qu’ils manipulent le processus constituant ?

– Ce qui est édifié sur un mensonge ne peut que produire une falsification… c’est bien beau rédiger une constitution mais si l’assemblée qui la rédige est mal constituée tout ce qui pourra en sortir ne pourra qu’être mal constitué. Que vous me présentiez 80 bons articles mais que 20 soient mauvais, tout cela ne pourra que ruiner le pays, ne me dites pas que ça, c’est une constitution…

– Tu as lu les projets de constitution ?

– OUI.

– Où ? dans Internet ?

– OUI.  Par exemple, ils disent que les femmes sont égales en toutes choses, exception faites de ce qui contredit la loi islamique… Or, la loi islamique prévoit que les hommes peuvent régir la vie de leurs femmes. Ça ne peut pas fonctionner en société.

– Pourquoi pas ? Quel est le problème ?

– Le problème !? c’est que c’est outrageant !

Je ne peux battre ma femme et éventuellement la tuer, fort de mon droit de régir sa vie… ce qui n’est qu’un abus, qu’une insanité. Tout ça ( ce processus politique constituant ) est nul et non avenu parce que le parlement au premier chef est invalide en terme de dynamique populaire et constitutionnelle. D’aucuns fondent leur action sur l’amalgame du politique et du religieux ; les mosquées mobilisent les électeurs en achetant leur vote avec du sucre et de l’huile de cuisson et toutes autres espèces de choses du même ordre…

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Quelqu’un dit « Nous ne sommes pas colonisés »

Canada Libre : Ton opinion, tes préjugés et ton ignorance ne sont pas des arguments valables.

Des faits :

– Un dominion étranger nous a fédéré et s’impose comme pouvoir central sans notre consentement;
– Un dominion étranger nous prend plus de 80 milliards par années;
– Un dominion étranger contrôle nos frontières;
– Un dominion étranger contrôle nos ports, nos aéroports et notre fleuve;
– Un dominion étranger contrôle nos communications;
– Un dominion étranger contrôle notre transport ferroviaire;
– Un dominion étranger impose sa constitution sans notre consentement;
– Un dominion étranger garde les Autochtones dans des camps de concentration;
– Etc.

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Quelqu’un voulant convaincre qu’il faut rester dans le canada-des-anglos dit « nous sommes canadiens »

Canada Libre : Bien sûr que nous sommes Canadiens.

Nous sommes Canadiens depuis 400 ans.

Nous sommes Canadiens depuis plus de 160 ans avant qu’aucun Anglais ne puisse remonter le St-Laurent sans se faire couler ni traverser les Appalaches sans se faire scalper.

Les anglais ont envahi notre patrie.  Ils en ont fait disparaître tout ce qui est Canadien déjà, sauf nous, au Québec.  Nous disparaîtrons aussi si nous leur laissons garder le contrôle sur nous.

Être Canadien n’est pas rester soumis à l’anglo-impérialisme qui vole notre nom pour mieux nous faire disparaître (car ce qui n’a pas de nom n’existe pas).

Tu veux nous forcer à rester soumis à ça ?

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Suprémacisme ethnique White Anglo-Saxon Protestant. Voilà ce que le Canada et l’Acadie endurent depuis 300 ans.

Celui qui est contre le droit et la liberté de mon peuple de choisir librement de son état et de son avenir sans interférence de tout autre peuple ou nation, celui-là participe à cet ethnocentrisme anglo-impérialiste keunédieune.

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PURE LAINE :  Le terme pure laine utilisé pour nous désigner vient des anglo-impérialistes, il fut utilisé pour désigner les Québécois de souche pour la première fois dans les pages de The Gazette. 

Il n’y a aucun Québécois ou vrai Canadien qui se dise ni se soit jamais dit pure laine et qui regarde ceux qui ne sont pas nés ici avant la conquête comme des gens de moindre qualité.  Cela N’EXISTE PAS et cela n’a JAMAIS EXISTÉ.

Les ethno-suprématistes anglos ont constamment besoin de dénigrer notre peuple pour justifier le leur. Ce ne sont pas tous les anglos qui font ça, mais ceux qui le font en mènent assez large pour contrôler certains médias.

Jusqu’au milieu de 20ième siècle, quand la pureté raciale était synonyme de supériorité, ils se disaient de race pure et qualifiaient systématiquement les autres peuples – Amérindien, Métis, Acadiens, Canadiens et immigrants – de bâtards, métis, corrompus, sang-mêlé, etc. Maintenant que la diversité est de bon ton et que la pureté raciale est associée aux crimes nazis, on nous qualifie de « pure laine »

Les mots changent mais c’est toujours la même haine contre tous ce qui n’est pas anglos ou soumis à eux.

Vous pourrez toujours utiliser les termes qui vous plaisent, mais vous ne pourrez plus plaider l’ignorance.

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Quelqu’un dit : « vous parlez du passé et vous vivez dans la haine alors que moi je parle de maintenant . »

Je parle du présent.  Le passé explique le présent. On ne peut pas comprendre le présent sans connaître le passé.

Je respecte et je comprends les anglos.  Si j’étais anglo, moi aussi je ne voudrais rien savoir des vrais Canadiens et de leur langue française.  C’est normal.  Les anglos croient qu’ils n’ont pas besoin des vrais Canadiens pour se faire un pays.

Ce que je ne respecte pas, c’est l’impérialisme.  Je ne parle pas seulement du passé mais aussi de cette attitude qu’on voit partout que tout est permis aux anglos et que rien ne doit leur être imposé alors que nous devons toujours subir et ne jamais rien demander.  Il n’y a aucune raison pour que mon peuple reste soumis à un autre peuple ni pour que nous leur abandonnions la moitié de nos taxes et impôts tout en n’ayant aucun contrôle réel sur ce qu’on fait de notre argent et sur les pouvoirs fédéraux qu’on nous.impose.

Le Dominion a été conçu pour garder les vrais Canadiens, les Autochtones, les Métis et les Acadiens soumis et pauvres et pour les faire disparaître.  L’ère du colonialisme et de l’impérialisme est révolue presque partout mais pas ici.  L’humanité est rendue à l’ère des peuples souverains, des pays indépendants séparés et des droits humains pour tous.

Dire tout cela n’est pas de la haine mais bien du respect de soi.

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Le 7 avril 2013 19:29, Canabien a écrit :

Les gouvernements québécois se disent :  » tant qu’on aura la péréquation .. Il faut la dépenser si on ne veut pas la perdre …. » ».

Si le Québec faisait partie de l’Union Européenne, il y a longtemps qu’on l’aurait rappellé à l’ordre et on lui aurait bloqué les fonds(la péréquation) tant que le Québec n’aurait pas fait le ménage dans ses finances.

Canada Libre

On envoie 60-70 milliards par année à Ottawa qui sert à développer les autres provinces. La péréquation est NOTRE argent.

Canabien

On reçoit plus $$$ d’Ottawa qu’on en donne …

Canada Libre

Prouves-le, si tu es capable.

Canabien

Une seule référence crédible avec chiffres de Statistiques Canada : http://www.antagoniste.net/2013/03/07/le-declin-tranquille-xvii-la-perequation/ 

Canada Libre

Antagoniste.net !?  Ce site est partisan et biaisé. Si tu avais eu quelque chose de valide je suis certain que tu l’aurais sorti.

Passons pour le ridicule de ta source. Sais-tu que la péréquation ne représente même pas 5% de l’argent qui se brasse entre le fédéral et les provinces ?

Pour faire un bilan valable, il faut couvrir TOUS les revenus et TOUTES les dépenses fédérales. Sinon, tu n’es pas crédible.

Autre chose, avant que tu ne perdes le reste de ta semaine à essayer de trouver des informations crédibles qui soutiendraient tes lubies (;-))

1- Si nous recevons plus de péréquation c’est nécessairement parce que notre niveau de richesse est plus bas que les autres, cela prouve que nous sommes perdants dans la canada-des-anglos.

2- Même si nous recevons plus de péréquation que les autres, nous sommes quand-même perdants avec le fédéral parce que nous recevons moins que le rdC de tous les autres ministères fédéraux pour le développement économique, les affaires indiennes, la défense, l’agriculture, la R&D, l’industrie, les banques, les infrastructures, les mines, les ressources naturelles, etc.

3- Comment peux-tu croire que les anglos seraient assez stupides pour perdre de l’argent avec un peuple et un territoire qu’ils dominent et colonisent ??? 

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« Le pays comptait 9 % d’anglophones bilingues, en 2001. Au recensement de 2011, ce taux baissait à 8,9 % après une pointe à 9,4 % en 2006. Côté francophone, par contre, le taux de bilinguisme est passé de 43,4 % à 44 % en une décennie. »

Source : Langues, du mythe à la réalité (La Presse)

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Ils ne sont pas contre la mafia, ils ne sont pas contre la corruption, ils ne sont pas contre la haine ni contre l’hypocrisie : Ils sont seulement contre notre souveraineté.

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© Éditeur officiel du Québec À jour au 1er juin 2013
Ce document a valeur officielle.

chapitre C-11

CHARTE DE LA LANGUE FRANÇAISE
PRÉAMBULE

Langue distinctive d’un peuple majoritairement francophone, la langue française permet au peuple québécois d’exprimer son identité.

L’Assemblée nationale reconnaît la volonté des Québécois d’assurer la qualité et le rayonnement de la langue française. Elle est donc résolue à faire du français la langue de l’État et de la Loi aussi bien que la langue normale et habituelle du travail, de l’enseignement, des communications, du commerce et des affaires.

L’Assemblée nationale entend poursuivre cet objectif dans un esprit de justice et d’ouverture, dans le respect des institutions de la communauté québécoise d’expression anglaise et celui des minorités ethniques, dont elle reconnaît l’apport précieux au développement du Québec.

L’Assemblée nationale reconnaît aux Amérindiens et aux Inuit du Québec, descendants des premiers habitants du pays, le droit qu’ils ont de maintenir et de développer leur langue et culture d’origine.

Ces principes s’inscrivent dans le mouvement universel de revalorisation des cultures nationales qui confère à chaque peuple l’obligation d’apporter une contribution particulière à la communauté internationale.

SA MAJESTÉ, de l’avis et du consentement de l’Assemblée nationale du Québec, décrète ce qui suit:

TITRE I
LE STATUT DE LA LANGUE FRANÇAISE

CHAPITRE I
LA LANGUE OFFICIELLE DU QUÉBEC

1. Le français est la langue officielle du Québec.
1977, c. 5, a. 1.

CHAPITRE II
LES DROITS LINGUISTIQUES FONDAMENTAUX

2. Toute personne a le droit que communiquent en français avec elle l’Administration, les services de santé et les services sociaux, les entreprises d’utilité publique, les ordres professionnels, les associations de salariés et les diverses entreprises exerçant au Québec.
1977, c. 5, a. 2.

3. En assemblée délibérante, toute personne a le droit de s’exprimer en français.
1977, c. 5, a. 3.

4. Les travailleurs ont le droit d’exercer leurs activités en français.
1977, c. 5, a. 4.

5. Les consommateurs de biens ou de services ont le droit d’être informés et servis en français.
1977, c. 5, a. 5.

6. Toute personne admissible à l’enseignement au Québec a droit de recevoir cet enseignement en français.
1977, c. 5, a. 6.

http://www2.publicationsduquebec.gouv.qc.ca/dynamicSearch/telecharge.php?type=2&file=/C_11/C11.html

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Le Québec, l’Alberta et la péréquation

Nous avons payé pendant plus de cent ans pour tenir l’Alberta en vie. Payé pour deux voies ferrées transcontinentales – pas une : DEUX – payé pour une autoroute transcontinentale, payé pour envoyer l’armée éradiquer les Indiens et les Métis, payé pour importer des immigrants d’Europe jusque là-bas gratis, payé pour leur donner des terres, payé pour ;eur fournir des matériaux et des victuailles – tout ça pendant que la pauvreté forçait deux tiers de notre peuple à l’exil permanent aux ÉUA pour survivre -, payé pour subventionner la culture du blé, payé pour subventionner le transport du blé, payé pour rendre les sables bitumineux exploitables – 60 milliards entre 1979 et 1999 -, payé pour renflouer l’économie de l’Alberta pendant les récessions, payé pour sauver les nombreuses banques qui y faisaient faillite durant les années ’80, etc.

Et nous payons encore aujourd’hui plus de 3 milliards en subventions annuelles aux pétrolières étrangères qui décrissent le territoire.

C’est ça être colonisé : On paie tout le temps pis ça donne juste qu’on se fait dénigrer.

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Péréquation ? La péréquation c’est 5% de l’argent qui se brasse entre le fédéral et les provinces.

‘y a les affaires Indiennes, la Défense, les Transports, la Technologie et le Développement, et plein d’autres affaires pour lesquelles nous payons et dont on n’obtient jamais une part équitable.

Quand c’est pour collecter, tout le monde paie égal.

Quand c’est pour développer l’économie et les infrastructures, quand c’est pour sauver les industries en détresse et les banques alors on donne toujours plus à l’Ontario et à l’Alberta qu’au Québec. C’est pour cela que leurs économies roulent mieux et c’est pour cela que nous sommes bons pour le béesse de la péréquation.

Alors; pendant qu’on reçoit 8 milliards on en met 70-80 dans le pot et l’Alberta reçoit 3,2 milliards – exactement autant que nous per capita – en subventions pour les pétrolières étrangères qui décrissent son territoire, donne le cancer aux Autochtones et appauvrie notre économie en dopant le dollars.

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Éducation au Québec :

Lors des concours internationaux en science et en mathématique, les Québécois sont parmi les meilleurs au monde avec les Japonais et les Suédois.

Classement international des Québécois : http://www.ledevoir.com/societe/education/312614/tests-pisa-en-education-le-quebec-a-toujours-la-bosse-des-maths

Nous sommes toujours parmi les meilleurs au monde même si les libéraux ont réussit à faire baisser notre performance au cours de leurs neuf années au pouvoir (de 2003 à 2012).

Concernant la fréquentation post-secondaire : Le taux de fréquentation post-secondaire est 25% plus élevé au Québec que dans le rdC (RoC)

Source : http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=RbtOSexa1yg

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C’est la tricherie, la manipulation et le mensonge qui ont donné au NON sa majorité 0,6% – 54 288 votes – en 1995 :

– >56000 voteurs qui n’ont jamais réellement existé. Tous dans Westmount Hamstead et l’Ouest-de-l’Ile

– des centaines de milliers de roCiens venus pour le Love-In – commandité illégalement – ont ensuite voté dans notre référendum en abusant d’une dispositions de la loi

– >40 000 immigrants ont été « incités » à déménager à Montréal durant l’année 1995 et, lors des séances massives d’assermentation à la citoyenneté keunaydieune, on leur a donné instruction de voter NON pour « sauver le pays » pour garder leur nouvelle cotoyenneté.

– 30 millions de dollars dépensés illégalement par le gouvernement fédéral dans la campagne du NON : 600 % au dessus de la limite fixée par la loi.

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SouverainistesAttendant

Quelqu’un dit « Pauline Marois doit corriger le tir rapidement. Il n’est pas question que je vote pour un parti qui garde toutes ces taxes régressives qui continuent peu à peu de faire disparaître la classe moyenne dans le but de plaire à la clientèle des libéraux sous prétexte que ce n’est que « le seul parti qui peut faire un référendum ». »

Canada Libre : Ceux qui veulent la souveraineté parlent de la souveraineté.  Ceux qui veulent rester soumis parlent de n’importe quoi d’autre.

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Être Québécois , c’est tout simplement considéré le Québec comme son pays , comme le font n’importe quel peuple en leur pays , comme les Tibétains qui ne se considère pas Chinois. À partir du moment où l’ont choisis le Québec comme patrie , l’on devient Québécois, peut importe l’origine, la langue ou les coutumes. Je comprends très bien que la propagande anglo-impérialiste vous fasses douter, ce n’est sûrement pas la bonne source pour vous renseigner sur le Québec. Intégrez-vous et vous saurez à quelle peuple vous appartenez.

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Le Québec n’est plus en déficit grâce à l’arrivée du PQ au pouvoir [2012].  Pendant ce temps, le déficit de l’Ontario est de 11,7 milliards, celui d’Ottawa est 18,3 milliards et l’Alberta – qui a plus de pétrole que l’Arabie saoudite – est dans un trou de 6,3 milliards.

Il est vrai que le gouvernement du Québec reçoit 8 milliards de péréquation par année en provenance d’Ottawa.  Mais Ottawa reçoit 70-80 milliards de taxes et d’impôts par année en provenance du Québec 😉

Avec le PQ, le Québec n’a pas fait de déficit durant cinq ans : Pas de déficit en 1998, pas de déficit en 1999, pas de déficit en 2000, pas de déficit en 2001 et pas de déficit en 2002.

Ce sont seulement les libéraux qui nous endettent tout en augmentant les coûts, frais et taxes, y inclus en doublant les taxes scolaires PARTOUT au Québec d’un seul coup. 

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« Le Québec a tout ce qu’il faut pour réaliser l’indépendance »
– John James Charest, premier ministre du Québec, juillet 2006

«Oui, nous avons les moyens» – Jean Charest

Radio-Canada, vendredi 7 juillet 2006
John James Charest à TV5

Selon le premier ministre Jean Charest, qui est en tournée européenne, le Québec a les moyens nécessaires pour devenir un État indépendant, …

En visite à Paris, le premier ministre du Québec déclare que la province a tout ce qu’il faut pour réaliser l’indépendance, …

Le premier ministre a fait cette déclaration à Paris, lors d’une entrevue à la chaîne de télévision TV5, qui consacre une heure d’antenne à la province québécoise …

Lorsque l’animateur lui a demandé si le Québec avait les moyens de réaliser l’indépendance, Jean Charest n’a pas hésité. « Oui, nous avons les moyens. Personne ne remet en question la capacité du Québec financièrement […] sauf que la vraie question est la suivante: qu’est-ce qui est dans notre intérêt, à nous? »

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Depuis 40 ans les échecs du clan fédéraliste sont plus nombreux que ceux de celui des souverainistes/indépendantistes :

  1. La Conférence constitutionnelle des fédéralistes keunédieunes et Québécois à Victoria en 1971 : Avortée.
  2. Le rapatriement (1981) et l’adoption de la Constitution du Dominion (1982) sans l’adhésion du peuple du Québec, de son Assemblée nationale et de tous ses gouvernements successifs depuis 1982 y inclus les fédéralistes. 
  3. L’Entente du Lac Meech (1987) négociée entre fédéralistes et trahie…par des fédéralistes tant rocanadians que Québécois.
  4. La cuisante défaite référendaire des fédéralistes rocanadians et Québécois lors de la consultation pan-canadian de 1992 portant sur une dernière proposition constitutionnelle, celle de Charlottetown.
  5. Les malversations et fraudes électorales du clan du NON transformant la défaite des fédéralistes québécois en victoire par un écart de seulement un demi point de pourcentage lors du référendum sur la souveraineté du Québec en 1995.

Les soumissionistes n’ont plus à offrir que la haine, les scénarios catastrophe et le dédain de soi-même.

Il y a déjà eu des fédéralistes positifs, inclusifs et sincères. Des Bourrassa, Ryan et Mulroney qui se sont fait mettre en échec et poignarder par ceux sensés être leurs alliés, des fédéralistes – plutôt des traîtres soumissionistes, en fait – tels que Trudeau, Chrétien et Charest et Dion.

Il ne reste qu’un osti de nid de crabe serviles et corrompus.

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Liste des plus grands ministères du Québec considérant le Budget 2012-2013 du Gouvernement du Québec:

10-Ministère de la Justice: 751 millions $CAD
9- Ministère des Transports: 752 millions $CAD
8- Ministère du Développement économique, de l’Innovation et de l’Exportation: 960 millions $CAD
7- Ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation: 1.1 milliard $CAD
6- Ministère de la Sécurité publique: 1.2 milliard $CAD
5- Ministère des Affaires municipales, des Régions et de l’Occupation du territoire: 1.7 milliard $CAD
4- Ministère de la Famille: 2.5 milliards $CAD
3- Ministère de l’Emploi et de la Solidarité sociale: 4.3 milliards $CAD
2- Ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport: 16 milliards $CAD
1- Ministère de la Santé et des Services sociaux: 30.1 milliards

Qu’est-ce que ça nous donne d’envoyer la moitié de nos taxes et impôts à Ottawa ??

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La population du Québec supporte largement la loi 101

Même le très soumissioniste gouvernement de John James Charest, en neuf années au pouvoir du gouvernement du Québec, n’a osé touché un cheveux de la loi 101 de peur de créer une révolte sociale certaine.

En fait, 79 % de toute la population du Québec supporte la loi 101 actuelle (http://pdf.cyberpresse.ca/lapresse/bilinguisme.pdf, p.10) et 60 % voudrait la voir s’étendre encore plus.

Support Loi 101 - Angur Reid

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John James a mit à la tête de l’OQLF deux des plus fervents activistes anglo-centriques qui se trouvent au Québec :

De plus, le savior-of-canada a nommé Kathleen Weil ministre de la Justice et ministre de l’Immigration qui, de 1985 à 1989 avait hardament combattu la loi 101 en tant que directrice des affaires juridiques à Alliance Québec.

L’intention et l’action de John James était d’étouffer la loi 101 en d’empêchant son application.

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Un jour, je suis entré chez Luciani Infiniti pour voir les autos. J’ai tout-de-suite remarqué que les affiches étaient en anglais seulement. J’ai fait le tour puis quelqu’un m’a approché : « Good morning sir, can I do something for you ? » J’ai répondu « Non, merci » et je suis parti.

Deux heures plus tard, j’achetais une G35 flambant neuve chez Infiniti de Laval. Je ne suis JAMAIS retourné chez Luciani pour l’entretien de ma voiture même si je travaillais à deux coins de rue de là.

Je suis comme ça; je ne me plains pas et je n’achète pas. Premièrement, ça sert à rien de débattre les choix de quelqu’un qui est trop raciste pour parler la langue du peuple. Il sait très bien ce qu’il fait.  Deuxièmement, quand il voudra savoir pourquoi ses affaires vont mal alors il se paiera un consultant à 40 000 $. Moi, je ne lui donnerai pas l’information gratuitement.

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Démocratie directe : Le miracle Suisse

La différence entre la dictature ploutocrate sous couvert d’élections et la démocratie réelle :

04:15 : « Elle [une citoyenne] décide donc, avec une cinquantaine de citoyens de tous bords politiques, de lancer un référendum. Appelées à se prononcer dans les urnes .. les citoyens votent .. et annulent ainsi la décision du parlement. »

05:10 : « La menace permanente d’une sanction populaire conduit les élus **faire de la politique autrement** et à réfléchir à deux fois au moment de voter. »

11:33 : « En Suisse on élit des représentants mais, en plus, on a la possibilité de s’exprimer sur des objets concrets. »

15:40 : « Les électeurs Suisses sont régulièrement solicités. Quatre fois par an en moyenne. »

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Option Canada et le Conseil pour l’unité canadienne ont dépensé illégalement environ 539 000 $ durant la période référendaire d’octobre 1995

29 mai 2007

Québec, le 29 mai 2007 – Option Canada et le Conseil pour l’unité canadienne (CUC) ont dépensé environ 11 M$ en faveur de l’option du NON avant et pendant la période référendaire de 1995 au Québec. Ces fonds provenaient d’une seule source, à savoir le ministère fédéral du Patrimoine canadien. Sur ce total, environ 539 000 $ ont été engagés illégalement durant la période référendaire, soit entre le 1er et le 30 octobre 1995. Telles sont notamment les conclusions du rapport présenté aujourd’hui par Me Bernard Grenier, mandaté par le Directeur général des élections du Québec, Me Marcel Blanchet, pour enquêter sur les allégations contenues dans le livre Les secrets d’Option Canada des auteurs Normand Lester et Robin Philpot. Si dans son rapport Me Grenier identifie les principaux acteurs qui ont été mêlés à la campagne référendaire du NON, il ne présente aucune conclusion défavorable à l’égard des élus qui y ont participé.

« Je souhaitais que la lumière soit faite sur un chapitre important de notre histoire démocratique et à cet égard, je suis très satisfait du travail accompli par Me Grenier et son équipe », a indiqué Me Blanchet.

Le mandat du commissaire-enquêteur et le déroulement de l’enquête

Le mandat confié à Me Bernard Grenier était « d’effectuer une enquête sur l’ensemble des faits contenus et décrits dans le livre Les secrets d’Option Canada et dans l’ensemble des documents remis au DGE par ses auteurs, ainsi que sur toute autre information dont le commissaire-enquêteur pourrait prendre connaissance dans l’exercice de son mandat ». Particulièrement, Me Grenier devait déterminer si des dépenses avaient été engagées durant la période référendaire précédant la consultation populaire du 30 octobre 1995 sans avoir été autorisées et déclarées, le tout en contravention des dispositions de la loi.

Pour accomplir ce mandat, le commissaire-enquêteur a tenu 52 journées d’audience, du 18 septembre 2006 au 30 avril 2007, durant lesquelles il a entendu 90 témoins, notamment MM. Daniel Johnson et Jean Charest, ainsi que Mmes Liza Frulla et Lucienne Robillard. Plus de 18 000 documents ont été analysés, alors qu’environ 4 500 ont été déposés en preuve, dont un rapport juricomptable et des annexes qui à elles seules contiennent près de 2 000 pages.

En réponse à des questions de droit et de compétence qui lui ont été soumises par les procureurs de certains témoins, Me Grenier a déterminé qu’il devait enquêter sur la période pré-référendaire autant que sur la période référendaire proprement dite. Il ne pouvait toutefois analyser les dépenses du gouvernement fédéral que dans la mesure où elles avaient un lien avec les activités d’Option Canada ou du CUC et qu’elles apparaissaient dans des documents publics.

Les dépenses qui auraient dû être autorisées et déclarées

C’est la Versionspéciale de la Loiélectorale pour la tenue d’un référendum (VSLETR) qui contenait les règles sur le financement que devaient respecter les comités nationaux, ainsi que tous les acteurs impliqués dans la bataille référendaire de 1995. En vertu de ces règles, durant la période référendaire allant du 1er au 30 octobre, les dépenses visant à favoriser l’option du NON devaient être autorisées par l’agente officielle du Comité des Québécoises et des Québécois pour le NON (CQQN). Ces dépenses devaient par ailleurs être défrayées à même une source unique, à savoir un « fonds du référendum » constitué en vertu de la VSLETR.

La preuve déposée devant le commissaire-enquêteur a toutefois démontré que des dépenses totalisant 539 460 $ ont été engagées durant la période référendaire à même des fonds étrangers au « fonds du référendum » et sans avoir été autorisées par l’agente officielle. Certaines autres dépenses illégales n’ont toutefois pu être évaluées. Le tableau suivant donne un aperçu du type de dépenses illégales engagées. Plus d’informations sur ces dépenses sont contenues dans la conclusion du rapport de MeGrenier.

Dépenses illégalement engagées durant la période référendaire

Types de dépenses

Montants défrayés par Option Canada ($)

Montants défrayés par le Conseil pour l’unité canadienne ($)

Total ($)

Publicité

9 379

9 379

Sondages et suivi de l’opinion publique

171 266

65 000

236 266

Groupe affilié
(Conseil québécois des gens d’affaires du Canada)

35 000

35 000

Communications

12 000

12 000

Services de location

6 891

6 891

Consultants, organisateurs et autres contractuels

144 990

82 129

227 119

Total

379 526

147 129

526 655

2 employées rémunérées par le gouvernement fédéral

12 805

Grand total

539 460

On remarquera, dans ce tableau, que l’un des deux types de dépenses où l’on retrouve les montants les plus élevés concerne les « Consultants, organisateurs et autres contractuels ». Cette rubrique englobe notamment des primes de séparation qui étaient en fait des salaires versés indirectement à des travailleurs pour le NON et dont une partie, soit 88 085 $, représente une dépense non autorisée. Elle inclut également une dépense de 71 313 $ représentant des salaires versés à des personnes embauchées pour faire la « promotion des valeurs canadiennes » mais qui ont, dans les faits, accompli diverses tâches d’organisation et de communication pour le Comité du NON durant la période référendaire.

Les conclusions relatives aux principaux acteurs

Dans la rédaction de son rapport, Me Grenier a été « sensible au risque de porter atteinte après 11 ou 12 ans à la réputation de personnes qui ont œuvré pour la cause du NON en toute bonne foi ». « Je ne dévoilerai pas l’identité d’individus qui se contentaient d’exécuter la tâche qu’on leur confiait sur le terrain ou derrière un bureau », précise le rapport du commissaire-enquêteur qui poursuit : « par contre, il me semble important d’identifier les têtes dirigeantes ou les principaux acteurs au sein des organismes mêlés au référendum et ce, pour des raisons de transparence. »

C’est ainsi que Me Grenier formule des « conclusions défavorables » à l’égard d’un certain nombre de personnes :

  • M. René Lemaire, directeur général d’Option Canada à compter du 7 septembre 2005, a fait plusieurs dépenses réglementées sans obtenir l’autorisation de l’agente officielle du CQQN.
  • M. Jocelyn Beaudoin, directeur général du CUC, a continué d’être mêlé à certaines décisions d’Option Canada qui ont mené à l’engagement de dépenses non autorisées.
  • M. Réjean Roy, contrôleur financier du CUC et d’Option Canada, a contribué à acquitter des dépenses réglementées non autorisées par l’agente officielle du CQQN.
  • M. Claude Dauphin, président d’Option Canada, sans mauvaise foi, a fait preuve d’un manque de vigilance en recevant des émoluments non déclarés et non autorisés.
  • Mme Nathalie Bernier, agente officielle du CQQN, a fait son travail avec intégrité, mais a choisi de ne pas intervenir auprès d’Option Canada pour s’assurer que cet organisme ne ferait pas de dépenses non autorisées ou pour s’assurer qu’il déclarerait les dépenses réglementées qu’il a effectuées.

Quant au rôle joué par certains dirigeants du Parti libéral du Québec, il est permis de croire que des personnes en autorité ont manqué de vigilance par rapport aux activités du CUC et d’Option Canada. Le commissaire-enquêteur indique toutefois que la preuve présentée devant lui n’est pas suffisante pour conclure que MM. Pierre Anctil, Stéphane Bertrand, Pietro Perrino et Richard Vigneault ont agi d’une façon telle qu’il doive tirer à leur endroit une conclusion défavorable.

Dans le but d’éviter des préjudices et des injustices à l’égard de certaines personnes qu’il a entendues à titre de témoins, MeGrenier maintient l’Ordonnance relative à la non-divulgation, la non-communication et la non-diffusion de la preuve qu’il a émise le 18 septembre 2006.

Catégories : ProvincialRéférendum 1995

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14 réflexions sur « Accueil »

  1. Québec-bashing = Projection !!!

    «« Définition du mot Projection

    Transposition sur autrui d’un mouvement psychique

    Une personne en proie à des pulsions, des pensées, des désirs qu’elle ne peut reconnaître pour siens utilise un mécanisme de défense essentiellement imaginaire : elle les déplace sur autrui. C’est ce que la psychanalyse nomme projection. Il s’agit de l’une de nos réactions archaïques, présentes dès les premiers stades du développement, que le moi ensuite intègre et met en œuvre pour se protéger. A priori normale, sinon nécessaire, la projection devient trouble psychique lorsqu’elle revient en boomerang sur son auteur sous forme de délire paranoïaque, phobies handicapantes ou jalousie extrême. »»

    Source : http://www.psychologies.com/Dico-Psycho/Projection

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  2. Jean Chartier
    Le Devoir 23 mai 1996

    Le 28 septembre 1995, nous étions 200 immigrants dans la même salle pour un examen sous forme de questionnaire à choix multiples. C’était complètement ridicule. J’étais au premier rang. L’agent d’Immigration Canada indiquait aux gens la bonne réponse à cocher sur le questionnaire quand ils ne savaient pas quoi répondre. Il y avait un Turc qui ne parlait que sa langue, des Hindous qui ne comprenaient rien. D’ailleurs, 20 à 30 % des gens ne comprenaient rien, mais chacun est reparti avec son certificat de citoyenneté.»

    Tel est le témoignage de Véronique Drolez, photographe de mode, au sujet de sa comparution devant un juge fédéral d’immigration quatre semaines avant 1e référendum. Elle estime que c’était un examen du genre «Quelle était la couleur du cheval blanc d’Henri IV?» Il y avait plein de gens incapables de saisir quoi que ce soit en anglais ou en français, et on leur a rendu un certificat de citoyenneté canadienne plastifié à l’avance, à leur nom, contrairement selon elle, aux normes de la Loi de l’immigration.

    «C’était d’un niveau humiliant, dit-elle. C’est sûr que c’est un non-sens. Normalement il faut revenir pour prêter serment à la reine et chanter l’O Canada. Pas dans ce cas-là.»

    L’attaché de presse du ministre fédéral de l’Immigration, Benoît Chiquette, dit qu’un test de connaissance est exigé d’un immigrant et qu’il «doit être capable de maîtriser le français ou l’anglais, sinon il n’obtient pas sa citoyenneté». Il cite la loi qui exige expressément «une connaissance suffisante de l’une des deux langues officielles du Canada».

    Véronique Drolez, Bruno Ricca, Virginie Berthonneau, Christine Dumazet, Valérie Lehmann, Philippe Curien, Caroline Benetto, Fabrice Simon et Isabelle Lemarchand-Simon ont tous vécu des expériences qui les ont estomaqués lors de leur comparution devant un juge d’immigration, dans le sprint qui a précédé le référendum. Bruno Ricca, infographiste, témoigne: «La remise des certificats de citoyenneté avant le référendum, c’était l’usine. Le matin du 29 septembre, nous étions 152 de 47 nationalités différentes dans la même salle au Complexe Guy-Favreau à passer un examen ensemble, alors que, normalement c’est un juge d’immigration qui fait des entrevues individuelles. C’était affolant.»

    Bruno Ricca et Virginie Berthonneau étaient immigrants reçus depuis le 13 juin 1992. Normalement, à compter du 13 juin 1995, il leur fallait attendre neuf mois avant d’être convoqués. Mais en septembre 1995, les règles normales n’étaient plus suivies au Centre d’immigration de Montréal.

    Ils étaient convoqués tous les deux à 15h. Ils faisaient la queue tandis que leur copine, Caroline Benetto, est sortie avec le groupe précédent et les a prévenus qu’ils obtiendraient leur certificat le jour même. Bruno n’en revenait pas. Normalement il faut attendre. de deux à trois mois après l’examen.

    Dans la salle, on a soumis un examen écrit. Ils avaient plusieurs choix de réponse pour chaque question. «Si tu ne réussissais pas, dit Bruno, c’est que tu ne savais pas où tu habitais. Par exemple, on te demandait qui est le premier ministre du Québec. C’était très simple. Il ne te fallait que 12 points sur 20. Personne n’a échoué.»

    Bruno n’en revenait pas. «Il y avait des gens qui ne parlaient ni le français, ni l’anglais.» Dans la salle, des Africains, des Asiatiques, des Arabes. Bruno a vu à côté de lui un Chinois d’une quarantaine d’années qui ne comprenait ni l’anglais, ni le français. «il a forcément copié sur son voisin. C’était assez outrageant.»

    Il y avait un juge d’immigration, un greffier et trois personnes pour les aider. «Après l’examen bidon, ils nous ont donné le certificat et une petite carte d’identité plastifiée. Puis, le juge allait d’une langue à l’autre pour son discours, en anglais et français, moitié moitié, et il nous a invités à chanter le O Canada. Comme personne ne le connaissait, en riant, il nous a suggéré de l’apprendre.»

    Christine Dumazet, relectrice au Devoir, a été convoquée quelques jours plus tard, le 4 octobre, au Complexe Guy-Favreau: «Nous étions une centaine.» Un agent lui a précisé: «Au nombre de personnes qu’on fait passer, on ne peut pas se permettre de faire des entrevues. Si vous réussissez, vous aurez la surprise d’avoir votre certificat avant de partir. Si vous échouez, ne vous inquiétez pas, vous aurez une entrevue de rattrapage avec le juge.» Quatre ou cinq personnes sont allées dans une salle à part avec le juge. «J’ai l’impression que personne n’a été refusé.» Les deux tiers ont prêté serment à la reine en anglais, les autres en français. «J’étais la seule à trouver que ç’avait l’air d’une mascarade. La plupart des gens étaient heureux, fiers.» Et encore: «Les personnes âgées sont entrées les premières; je ne sais pas si elles ont vraiment dû répondre au questionnaire.»

    On lui a demandé quelle était la capitale du Québec, le nom de l’hymne national. «Pour échouer, dit-elle, il fallait avoir du mal à lire en français ou en anglais.»

    Elle raconte: «Lorsque l’on fait notre demande, on nous remet un document à étudier. Mais l’agent du gouvernement au guichet d’information du Complexe Guy-Favreau, en donnait un corrigé pour que les gens préparent leur examen plus facilement.»

    Elle compare sa situation à celle de son mari qui a attendu neuf mois en 1993 avant d’être convoqué par un juge d’immigration. Il a passé un examen oral avec des questions ouvertes. On lui a demandé d’énumérer les ressources des provinces maritimes, ce qui est plus difficile, on en conviendra. Six semaines plus tard, il était convoqué pour le serment à la reine.

    «Cela faisait trois ans en juin 1995 que j’étais immigrante reçue; je n’ai attendu que trois mois. Pour mon mari, l’examen a duré 30 minutes avec un juge de la Cour de la citoyenneté, alors que, dans mon cas, il y avait trois tables avec à chacune un juge d’immigration et deux agents. On passait l’un après l’autre pour le corrigé; puis, il y a eu le serment tous ensemble», dit-elle.

    «Je pensais au moins y retourner pour la prestation de serment. J’ai trouvé ça louche qu’ils me convoquent au début du mois de septembre. Je n’étais pas citoyenne au moment du recensement électoral. Alors, je suis allée à la révision une semaine ou deux avant le référendum et j’ai voté. C’était un rythme d’usine.»

    Elle a été étonnée de la procédure: «Après l’examen, on nous a demandé de remplir un formulaire pour autoriser ou non la Cour à transmettre notre nom à notre député pour qu’il nous envoie une lettre de félicitations.»

    J’aime

  3. Pendant que les anglos dénigrent haineusement le Québec et les Québécois ils ne voient pas les trois siècles de nettoyage ethnique continuel qu’ils ont pratiqué contre les Acadien, les autochtones – qui sont maintenus dans des camps de concentration depuis maintenant deux siècles -, contre les Métis et contre les vrais Canadiens.

    C’est pratique ..

    J’aime

  4. Franc-parler
    Bande de racistes !
    Richard Martineau @

    Journal de Montréal, Publié le vendredi 13 septembre 2013, 21H11

    Ainsi, selon un sondage Angus Reid, 68% des Québécois appuieraient une loi qui «interdit aux fonctionnaires de porter des signes ou des vêtements à consonance religieuse au travail».

    Comme l’a écrit ironiquement mon amie Tania Longpré (prof de francisation aux immigrants et auteure de l’essai Québec cherche Québécois) sur sa page Facebook:

    «Tous des idiots! Ils n’ont jamais voyagé! Ils sont fermés d’esprit! Ils sont xénophobes! Gang de racistes! Ce sont tous des nationalistes ethniques qui ont une croix gammée dans le dos! Ils n’aiment pas les immigrants! N’approchez pas! Ils ont une maladie mentale contagieuse! Pauvre petit peuple de misère!»

    LA GRANDE NOIRCEUR

    Ainsi, malgré les efforts héroïques de La Presse et de Radio-Canada qui n’ont pas hésité à flusher la notion d’équilibre journalistique dans les toilettes pour remettre le pôvre peuple dans le droit chemin et le sortir du crétinisme crasse où il se complaît, les Québécois n’ont pas réussi à voir la lumière!

    Mais que va-t-on faire, diantre? Notre élite éclairée va-t-elle faire ses valises et déménager à Toronto ou à Londres, capitales internationales du multiculturalisme?

    Heureusement, chers amis, le combat contre l’ignorance et la démagogie n’est peut-être pas perdu: une manif anti-charte se déroulera aujourd’hui.

    Une manif monstre organisée par plusieurs intellectuels progressistes comme Salam Elmenyawi.

    VIVE LA CHARIA !

    Quoi, vous ne connaissez pas monsieur Elmenyawi?

    Président du Conseil musulman de Montréal, monsieur Elmenyawi a fait pression sur le gouvernement du Québec en 2004 pour instaurer des tribunaux islamiques au Québec.

    Oui, oui, la charia!

    Bah, on est pour la liberté de religion ou bien on ne l’est pas, chers lecteurs!

    Voici d’ailleurs ce qu’on pouvait lire dans Le Devoir du 11 décembre 2004, sous la plume de Mounia Shadi:

    «Depuis quelques semaines, la mouvance islamiste fait des démarches auprès du ministre de la Justice, Jacques P. Dupuis, pour que celui-ci officialise l’instauration d’une instance d’arbitrage et de médiation qui rendrait ses décisions en vertu de la charia, la loi islamique.

    «Cette cour religieuse porterait le nom de Conseil de la charia, indique Salam Elmenyawi, le président du Conseil musulman de Montréal, un regroupement d’une quarantaine de mosquées et d’organisations musulmanes à l’origine du projet.

    «Tout ce qu’on veut, c’est un accord pour que les musulmans aient une instance officielle pour s’assurer qu’ils gèrent leur vie selon les préceptes de leur religion, affirme monsieur Elmenyawi. Si Québec refuse, nous devrons nous-mêmes donner la crédibilité au Conseil de la charia…»

    LE PORTE-PAROLE IDÉAL

    Voici l’homme qu’il nous faut pour combattre cette charte honnie! Un grand démocrate! Un citoyen qui croit aux valeurs québécoises! Un fin connaisseur du système juridique québécois et un défenseur acharné des droits et des libertés!

    (Surtout la liberté des hommes, car la charia se fout complètement du droit des femmes, mais, bof, c’est un détail, n’est-ce pas, chers amis de la gauche ouverte et progressiste…)

    Qui sait, avec votre aide, nous réussirons ENFIN à guérir le peuple de l’horrible maladie qui lui ronge le cerveau!

    Allez, chers intellectuels, tous ensemble derrière monsieur Elmenyawi !

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  5. «« Impératif français invite le Canada anglais et le gouvernement canadien à la modération dans ses basses accusations d’exclusion et de discrimination contre la société québécoise dans le débat sur le projet de Charte québécoise des valeurs communes.

    « Nous sommes révoltés des propos entendus en provenance du Canada anglais et des ministres et députés fédéraux de toutes allégeances, de déclarer le président d’Impératif français, Jean-Paul Perreault, qui a ajouté : « nous leur rappelons que c’est au Canada anglais que l’on retrouve les pires pratiques ostracisantes qui privent un grand nombre de Canadiens et de Canadiennes de leurs droits de travailler, de vivre et de s’épanouir en français. »
    « nous leur rappelons que c’est au Canada anglais que l’on retrouve les pires pratiques ostracisantes qui privent un grand nombre de Canadiens et de Canadiennes de leurs droits de travailler, de vivre et de s’épanouir en français. »

    « Pire, a-t-il dit, le gouvernement fédéral canadien, lui-même, pratique et encourage à grande échelle la discrimination et l’exclusion, car presque tous les postes de sa fonction publique (91,4 %) excluent et discriminent, imposant la connaissance de l’anglais, alors qu’à peine 3,9 % n’exigent que la connaissance du français. Ça, c’est de la discrimination et de l’exclusion « mur à mur »!»

    « Même au Québec, le gouvernement fédéral canadien impose ses pratiques de discrimination et d’exclusion privant plusieurs Québécois et Québécoises de leur droit de travailler, puisque près de 70 % des postes de sa fonction publique fédérale au Québec exigent la connaissance de l’anglais pour à peine 3 % de la population québécoise qui est unilingue anglaise. »
    Nous invitons les députés et ministres fédéraux à cesser leur mesquine manipulation politicienne et à adopter toutes les mesures qui s’imposent pour mettre un terme à la discrimination systémique canadienne contre la francophonie en faveur du tout anglais. »»

    Jean-Paul Perreault, président d’Impératif français

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  6. Adrien Arcand .. Il y a toujours quelqu’un prétend qu’il est une preuve du racisme des Canadiens (-français, Québécois .. )

    Adrien Arcand le « journaliste et homme politique canadien (québécois) de tendance nazie (national-socialisme) et antisémite, fédéraliste centralisateur et anglophile. » ? Le royaliste qui avait une « admiration sans bornes pour l’Empire britannique. » ?? Le «führer canadien» admiré par « un certain Pierre Elliott Trudeau, l’un des rares à avoir appuyé Arcand », qui avait des liens avec « l’Union nationale de Duplessis ainsi qu’avec plusieurs membres du clergé » et qui était financé par le gouvernement fédéral ???

    .. Notons qu’on voit là un bon exemple du dicton « qui s’assemble se ressemble »

    Ça fait un bout qu’on ne m’avait pas sorti ce Arcand comme exemple du « racisme Québécois ».

    Je trouve cela très drôle, en fait, car ce qu’on voit tous c’est que le souvenir de Arcand rappelle bien plus le racisme anglo-impérialiste et celui de ses serviles Canadiens colonisés ainsi que de tout ce qui gardait activement notre peuple dans la soumission de nègre-blanc que n’importe quoi d’autre, n’est-ce pas ? Car malgré ses nombreux appuis – église, gouvernement fédéral, canada-anglo, Trudeau, Duplessis, etc. -, Arcand le fascite antisémite n’a jamais été qu’un marginal chez les vrais Canadiens – au Québec – qui ne l’ont ni suivi ni élu alors qu’il s’est présenté par deux fois à des élections fédérales.

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  7. Trudeau :

    Pierre Elliott Trudeau a énoncé sa recette dans Le fédéralisme et la société canadienne-française en 1967 :

    « Un des moyens de contrebalancer l’attrait du séparatisme, c’est d’employer un temps, une énergie et des sommes énormes au service du nationalisme fédéral. Il s’agit de créer de la réalité nationale une image si attrayante qu’elle rende celle du groupe séparatiste peu intéressante par comparaison. Il faut affecter une part des ressources à des choses comme le drapeau, l’hymne national, l’éducation, les conseils des arts, les sociétés de diffusion radiophonique et de télévision, les offices du film. »

    On peut mettre en parallèle ce que Trudeau prêchait et les déclarations triomphales de Joseph Goebbels, ministre de la Propagande d’Adolf Hitler, au lendemain des élections de 1933, qui avaient porté les nazis au pouvoir en Allemagne. :

    « Maintenant, ce sera facile de mener le combat, car nous pourrons recourir à toutes les ressources de l’État. La radio, la presse sont à notre disposition. Nous allons organiser un chef-d’œuvre de propagande. Et, cette fois, l’argent ne manquera pas ».

    http://www.vigile.net/Chapitre-3-Au-commencement-etait

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    extrait de Tradition, modernité et aspiration nationale de la société québécoise, par Huber Guindon, dans le chapitre « Modernisation du Québec et Légitimité de l’état canadien :

    « À Ottawa et dans les autres provinces, ce nationalisme put porter le masque pieux de la démocratie. Car à mesure que les Canadiens de langue anglaise devenaient plus nombreux, ils se mirent à voiler leur intolérance sous le couvert de la règle majoritaire, grâce à cette règle, ils purent supprimer « démocratiquement » le bilinguisme dans l’Assemblée législative du Manitoba, violer les droits acquis dans les écoles séparées de diverses provinces, imposer férocement la conscription en 1917, et manquer en 1942 à la parole donnée. Dans le Québec, « où ils n’avaient pas le nombre mais où ils avaient l’argent, nos concitoyens (britannico-canadien) ont souvent cédé à la tentation d’agir démesurément avec les moyens qu’ils avaient. » En politique, le nationalisme canadien-britannique prit ainsi les formes qu’André Laurendeau baptisa admirablement « théorie du roi-nègre ». en matière économique, ce nationalisme consista essentiellement à considérer le Canadien français comme un « cochon payant » ; mais on poussa parfois la magnanimité jusqu’à placer des homme de paille au nom -« bien de chez nous »- sur les board of directors, ces hommes se ressemblent toujours en ceci : primo, ils ne furent jamais assez compétents et forts pour passer en tête, et secondo, ils furent toujours assez « représentatifs » pour solliciter les faveurs du « roi nègre » et flatter la vanité de la tribu. En matière sociale et culturelle enfin, le nationalisme canadien-britannique s’exprima simplement par le mépris : des génération entières d’anglophones ont vécu dans le Québec sans trouver le moyen d’apprendre trois phrases de français. Quand ces individus bornés affirment sérieusement que leurs mâchoires et leurs oreilles ne sont pas ainsi faites qu’elles puissent s’adapter au français, ils veulent en réalité vous faire comprendre qu’ils refusent d’avilir ces organes, et leur peu d’esprit, en les mettant au service d’un idiome barbare. »

    http://www.vigile.net/je-recherche-une-citation-de

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  8. « on ne peut pas être honnête et appuyer le fédéral en même temps »

    Est-ce une insulte quand c’est la vérité ? Si oui alors l’insulte peut être juste.

    D’autres ont déjà très bien expliqué que la domination anglo-impérialiste sur notre peuple ne peut se maintenir qu’au prix du favoritisme et de la corruption, car qui la défendrait chez-nous sans cela ? Parce qu’il pose comme principe la domination et l’exploitation d’un peuple par un autre imposées sans consentement, le fédéralisme est essentiellement malhonnête et on ne peut le supporter seulement que par intérêt personnel. Le fédéralisme doit donc faire passer d’une manière ou d’une autre une part de ses bénéfices d’« entreprise » aux politiciens qui permettent sa mise en œuvre et sa perpétuation.

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  9. «  » Le soir même du référendum de 1995, je vous ai fait parvenir un télégramme dans lequel je vous écrivais que malgré tout ce qu’on dirait de votre phrase («Nous avons perdu à cause de l’argent et du vote ethnique»), vous n’en aviez pas moins raison, ce que les faits ont d’ailleurs confirmé par la suite. Même Jean Chrétien l’a avoué devant la Commission Gomery, disant : «Nous étions en guerre, et quand on est en guerre, tous les moyens sont bons pour la gagner!» «  »
    – Victor Lévy-Beaulieu

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  10. VanQC : « Concernant les paroles de Parizeau, ce qu’il voulait dire par votes ethniques fesais allusion a la mobilisation ethnique en faveur du NON par une coalition des trois communautés « ethniques » les plus nombreuses du Québec, soit les les communautés grecque, italienne et juive, le tout alimenté par la peur traditionnelle que sèment le partie libéral du canada et du Québec. Les dirigeants de ces trois communautés, qui ont établi leur coalition dès l’été 1995, ont tenus une conférence de presse le mardi 24 octobre pour inciter les Grecs, Italiens et Juifs du Québec a voter NON. Lors de la conférence de presse, Me Athanasios Hadjis, vice-président du Congrès hellénique du QCF, Me Tonu Manglaviti, du congres national Italo-canadien et Me Reisa Tewitelbaum, présidente de la section québécoise du congrès juif canadien, ont vanté le fait que leurs communautés réunissaient quelques 400 000 personnes, soit 6% de la population du Québec, et que celles-ci voteraient a 90% pour le NON. Mais dans le même souffle et avec un raisonnement qui défie la logique, ils ont mis les dirigeants souverainistes en garde de ne pas faire de distinction entre le vote des minorités et le vote de l’ensemble de la population québécoise. C’est l’histoire du beurre et de l’argent du beurre: d’un coté, on joue la carte ethnique sans broncher pour faire le plein des votes pour le NON, et de l’autre, on crie au racisme a l’idée qu’un souverainiste puisse oser décrire ce qui s’est passé. »

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  11. Quelqu’un écrit : « la notion de séparation repose sur l’impérialisme canadien, une réalité factice, quelque chose qui n’existe pas. Ou alors les séparatistes croient que le Québec est un territoire occupé; ce qui constitue le délire total. Ce sont les deux conditions reconnues en Droit International pour qu’un peuple puisse mettre de l’avant le droit à l’autodétermination et la déclaration unilatérale d’indépendance. Force est de constater que cette planche de salut tant vantée et tant souhaitée par le PQ et les autres séparatistes et révolutionnaires de tout poil n’est pas au rendez-vous. »

    Réponse :
    – Invasion de 1763 (imposée)
    – Partition de 1791 (imposée)
    – Fédérations de 1838 et 1867 (imposées)
    – Mise en minorité des Canadiens dans leur propre patrie (imposée)
    – Taxes et impôts fédéraux (imposées)
    – Charte des droits et libertés (imposée)
    – Cour Suprême (imposée)
    – Constitution de 1982 (imposée)
    – Conscription durant les grandes guerres (imposées)
    – Empêchement d’enquêter sur les activités criminelles de la GRC qui posait des bombes en 1970 (imposée)
    – Empêchement d’enquêter sur les activités criminelles d’option Canada lors du référendum de 1995 (imposée)
    – Etc ..

    JAMAIS les Autochtones, ni les Métis, ni les Acadiens ni les Canadiens n’ont consenties aux pouvoir anglos sur eux. JAMAIS. C’est un pouvoir anti-démocratique et impérialiste.

    Le droit international n’aura aucune hésitation à s’impliquer pour peux que nous lui demandions de le faire.

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  12. Les histoires de partition sont une autre preuve que les impérialistes n’ont rien de valable à offrir. Que de la peur et de la haine.

    La partition du Québec est impossible sous la constitution actuelle et impossible selon les lois internationales. Entre les deux il n’y a rien. Dès le moment ou on se débarrasse du pouvoir anglo-impérialiste ce sont les lois internationales qui s’appliquent jusqu’à ce que nous ayons adopté notre propre constitution.

    Le dernier type qui a essayé la partition dans l’histoire de l’humanité a fini ses jours en prison durant son procès pour Crimes contre l’humanité. Si c’est ça que les ethno-suprématistes anglos cherchent alors c’est leur problème et pas le nôtre :

    «  » Slobodan Milošević .. mort en prison le 11 mars 2006 à Scheveningen, Pays-Bas.

    Il fut président de la Serbie de mai 1989 à octobre 2000 et de la République fédérale de Yougoslavie de juillet 1997 à octobre 2000. .. Il était accusé auprès du Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie (TPIY) de La Haye pour crimes de guerre, crimes contre l’humanité et génocide. Il est mort pendant la cinquième année de son procès ..

    Le 25 juin 1991, la Croatie et la Slovénie, « États indépendants et souverains » aux termes de la Constitution yougoslave titiste du 21 février 1974, déclarent ne plus adhérer à la République fédérative socialiste de Yougoslavie .. Milošević entreprend alors de modifier par la force les frontières de la Croatie et de la Bosnie-Herzégovine «  »

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Slobodan_Milosevic

    Et puis, si la partition était vraiment possible, on n’aurait eu qu’à se débarrasser de Westmount et Baie-d’Urfée en 1995, recompter les votes du référendum sans eux et Hop ! Souveraineté !!

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  13. C’est la première fois que je visite votre page et j’y trouve une part de vrai, des choses que j’avais déjà pensées moi-même mais que je formulerais différemment. Le Canada c’est le Québec. Le reste est le Dominion britannique d’Amérique du Nord et l’ensemble est toujours administré sous régime colonial, en 2014. Period. Sur le plan historique, le pays de Canada était situé dans la vallée du St-Laurent, entre les îles de Montmagny et le Lac St-Pierre. Sous le régime français, lorsque ce pays devint plus organisé et ses frontières plus précises, son territoire s’étendit pour inclure à peu près le territoire du Québec actuel, plus le bassin du Lac-Champlain plus ou moins l’Acadie, Terre-Neuve et le Labrador terre-neuvien. TOUS les Canadiens parlent français et ceux qui parlent anglais sont tout simplement…. des ANGLAIS ! ou bien des immigrants de tout poil, anglophiles et souvent en voie d’assimilation bébête et consentante. Étendre le Canada d’un océan à l’autre, et rebaptiser ainsi le Dominion n’a été qu’une parmi d’autres stratégies machiavéliques de l’envahisseur barbare pour nous déposséder de notre identité nationale, et nous assimiler plus sûrement. La perfide Albion n’en était déjà plus à une abomination près. Le génocide acadien avait été moins subtil, mais combien efficace ! Plus de la moitié des Acadiens périrent en mer, dans d’horribles souffrances, avant d’avoir pu trouver une terre d’asile. Les familles avaient été divisées; les enfants sans leurs parents, les épouses sans leurs maris. Peut-on imaginer un sort plus cruel ?
    Donc, sur le plan géopolitique, le Canada n’a jamais existé en tant que pays libre et indépendant; à l’heure actuelle, il est toujours enchaîné par son lien colonial de subordination aux intérêts du Royaume-Uni. Les institutions politiques fédérales ne sont qu’un faux-semblant de démocratie locale, mais en réalité gouvernement colonial absolument typique. D’ailleurs, le système parlementaire britannique en vigueur aussi bien dans le gouvernement de Québec que dans celui de Bytown empêche toute forme de démocratie réelle de s’exercer.

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