Votre définition du Québécois! (forum de la Fédération des Québécois de souche)
de Bergerix le 19 Oct 2011, 19:58
Le Québécois est un travailleur, un intrépide qui est venu sur cette terre pour en faire sienne. Il n’a pas peur, si parfois le doute s’installe dans son esprit, il sait qu’un jour il s’accomplira. Parfois il se fourvoit à travers un monde qui s’uniformise, au détriment de l’identité des peuples, et de l’identité du sien également. Pourtant dans son coeur résonne une fierté, sa mentalité le pousse à la paix et la bonne conscience, et laisse ce qui le dérange s’installer. Pourtant quand viens le temps que cet objet qui le dérange devient une menace, il sait réagir.
On nous dit que nous adoptons des valeurs d’égalité, pourtant nous savons que c’est une chimere. Personne n’est égal à un autre, chacun doit travailler pour son pain, et ca, le Québécois l’a bien compris. Meme si aujourd’hui certains »grands » esprits ont la paroles et le droit de nous dire le contraire, nous savons ce qu’il en est.
Le Québec est une régions qui aujourd’hui se cherche, moi j’ai trouvé le Québec à travers ses paysages, pas à travers une émission de Télé. J’ai trouver le Québec à travers sa musique, sa musique traditionnelle et celle qui s’est éfforcé a travers le peuple, le vrai peuple Québécois, et non le résultat de bussiness man qui ont voulu faire de l’argent.
Le Québec n’est pas une simple province qui doit s’épanouir sois-disant à travers d’autres communauté. Le Québec est une vrai entitée, ethnique et culturelle qui doit se défendre contre des idées et des mentalitées qui n’ont rien a lui apporter.
Il y en aurait tellement à dire, pourtant ce sont les mots qui me manque pour définir le Québec, donc je fait apelle aux vôtres.
de Canada Libre le 03 Jan 2013, 23:55
Nous sommes et avons toujours été les Canadiens et notre patrie est et a toujours été le Canada.
Les anglos sont autre chose. Autre chose qui ne se donne pas de nom original. Autre chose qui n’a pas le réflexe d’exister ouvertement sans prendre l’identité d’un autre peuple.
Pourquoi prendre le nom des autres au lieu de s’en forger un rien qu’à soi ? La honte ? La honte de n’avoir rien apporté ici, la honte de n’avoir qu’un héritage monarchiste et impérialiste dépassé à offrir en ce Nouveau-Monde ou la honte de ne pas être un peuple original et ancré dans son territoire comme nous le sommes ? La peur ? La peur de montrer qu’ils sont étrangers à ce pays ? La peur de la rébellion ? L’intérêt ? L’intérêt de préserver la domination qu’ils ont sur nous et sur notre territoire ?
À moins que le vol de notre nom ne soit un moyen de nous enlever ce qui nous donnerait sûrement plus la puissance de persister ; Notre identité, notre histoire, notre héritage ancestral et la conscience claire d’être ici chez-nous depuis des siècles.
À moins que le vol de notre nom serve à inverser les rôles ; Au lieu d’être les habitants qui sont envahis par des étrangers, nous devenons étrangers dans notre propre territoire et au lieu d’être les résistants qui subissent une occupation étrangère nous devenons les séparatistes qui veulent briser un pays.
Ou bien, le vol de notre nom sert à masquer la réalité ; Nous ne savons plus, les anglos ne savent plus, le monde entier ne sait pas que nous sommes ici chez-nous depuis bien avant l’arrivée des anglais au Canada. Nous ne savons plus, les anglos ne savent plus, le monde entier ne sait pas que le Canada a été envahi, qu’il est toujours occupé et que ses habitants résistent toujours légitimement.
Bien sûr, nous savons tous que nous sommes ici depuis bien avant les anglos. Mais, parce que nous avons abandonné notre nom, cette réalité perd sa force et son sens. C’est rien que notre faute.
Bien des raisons sont possibles. Au mieux, nous sommes des étourdis. Au pire, nous dire Québécois plutôt que Canadiens serait servir un plan anglo-impérialiste.
De toutes façons, les anglos gagnent très facilement une légitimité précieuse et les « Québécois » font une très grosse gaffe.
Ou bien, le vol de notre nom sert à masquer la réalité ; Nous ne savons plus, les anglos ne savent plus, le monde entier ne sait pas que nous sommes ici chez-nous depuis bien avant l’arrivée des anglais au Canada. Nous ne savons plus, les anglos ne savent plus, le monde entier ne sait pas que le Canada a été envahi, qu’il est toujours occupé et que ses habitants résistent toujours légitimement.
Bien sûr, nous savons tous que nous sommes ici depuis bien avant les anglos. Mais, parce que nous avons abandonné notre nom, cette réalité perd sa force et son sens. C’est rien que notre faute.
Bien des raisons sont possibles. Au mieux, nous sommes des étourdis. Au pire, nous dire Québécois plutôt que Canadiens serait servir un plan anglo-impérialiste.
De toutes façons, les anglos gagnent très facilement une légitimité précieuse et les « Québécois » font une très grosse gaffe.
Canada Libre 
Le fait culturel et ethnique d’origine française en Amérique vaut bien plus qu’un mot. Qu’on mette un nom ou l’autre par dessus ne change rien à l’essence même de son identité. Je pense que de se s’acharner sur un terme ou un autre et de baser la quête identitaire de tout un peuple sur un simple nom ne signifie absolument rien.
Dans un autre monde, nous aurions pu demeurer Canadiens au sein d’une Nouvelle-Grande-Bretagne portant un nom quelconque, et être victime des même maux qui affligent le Canada et ses provinces aujourd’hui. Je crois que le climat social pour les anglophones du Canada n’est pas nécéssairement plus positif.
Prend le temps de regarder les subventions et les programmes de financements divulgués par le fédéral et les gouvernements de chaques provinces et tu verrais que non seulement les Québécois mais tout les Canadiens sont floués par les deux paliers gouvernementaux. Des centres communautaires juifs ou islamiques sont financés à coup de millions, ainsi que les organismes d’accueil aux immigrants et de propagation des autres cultures. Tandis que rien n’est fait pour le bien-être des natifs.
Nous pourrions adopter l’utilisation du terme Canadien pour nous définir via un référendum demain, cela ne changerais rien au fait que tout nos églises seront transformées en mosquée après demain. À moins qu’une magie subite nous ramène la fierté de ce que nous sommes par ce changement de terme.
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Bonjour François,
Ne pas réduire un concept à un nom ? Mais, ce qui n’a pas de nom existe-t-il ? Essentiellement, l’existence ne dépend pas du nom mais, quand vient le besoin de se référer à la chose pour en parler et pour la faire valoir, il en faut un.
Et puis, si le nom n’avait pas d’importance, pourquoi les anglos se sont-ils emparé du nôtre ? Auraient-ils pu imposer leur domination sur nous aussi facilement sans prendre notre nom ? Pourrait-ils la maintenir aujourd’hui et entretenir la confusion identitaire dont ils profitent largement ? Ultimement, serions toujours soumis au canada-des-anglos aujourd’hui si l’évidence des termes posait clairement que nous descendons directement des habitants Canadiens et que les anglophones, eux, sont issus des envahisseurs étrangers ?
Le nom désigne une formule, la formule décrit un concept et le concept colle une réalité.
Je crois donc que le nom compte vraiment et qu’il est essentiel à l’issue du combat pour notre souveraineté et à la perpétuation de notre existence.
Canada Libre
P.S. : À ce point-ci, le Canada Libre n’est pas concerné par le traitement fait aux autres groupes culturels. À chacun ses combats.
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Je ne sais comment commencer mais j’ai souvenir il y a très longtemps 1963, le troisième porte-paroles de notre prise de conscience les deux autres étaient André D’almagne et le vénéré Père de l’indépendance Raymond Barbeau il fallait se voir quand on se rencontrait on se donnait une poignée de main si chaude que je n’ai jamais oublié. Il faudrait trouver un moyen de faire des petites unités dans une ville par exemple pour moi ce serait Sherbrooke qui serait le plus proche je Suis assez âgé 83 ans mais je vous dirais que d’être enfermé dans une petite cellule de 18 pouces de large et mesurant 78 pouce de long et ne faire que la poule qui tourne sur lui-même je suis entêté je suis en philosophique grace à un livre De l’Argent et du Bonheur plein les poches David Cameroun Gikandi merci de me lire Roch Gosselin
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Il ne faut pas confondre ethnicité et citoyenneté. Un blanc qui naît au Québec ne devient pas un Amérindien. De même qu`un noir qui naît au Québec ne devient pas un blanc. Ceci dit, la notion de Québécois demeure une notion arbitraire et subjective qui variera selon les valeurs de chaque individu. La définition de certains me paraît tellement vague qu`elle ne veut plus rien dire. On dirait que pour eux, on est tous interchangeables. Pour devenir un vrai Québécois, il suffit de déménager. En ce qui me concerne, je n`aime pas la diversité raciale et culturelle que nous connaissons actuellement. Ce n`est pas un jugement. C`est un goût personnelle. On est tous différent chacun à notre façon.
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