Simon Rancourt : Imaginez un jeune adulte de 25 ans qui a un emploi stable mais habite toujours chez ses parents tout en payant une pension.
Les parents ne manquent pas une occasion de dire que le jeune coûte bien plus cher qu’il ne paie en pension.
Mais quand le jeune exprime le souhait de se prendre un appartement bien à lui qu’il a les moyens de se payer, ses parents le supplient de rester en lui disant qu’ils l’aiment.
– Les parents, c’est le Canada.
– Le jeune, c’est le Québec.
– La pension qu’il paie, c’est les taxes et impôts que le Québec paie au fédéral.
– Ce que le jeune coûte aux parents, c’est la péréquation que le Québec reçoit et les investissements fédéraux au Québec.
– les parents qui disent que le jeune coûte plus cher qu’il ne paie, c’est les fédéralistes qui disent que le Québec dépend du « ROC ».
Canada Libre : Ajoutez à cela que :
– Les parents contrôlent les entrées et sortis du jeune,
– les parents contrôlent les relations du jeune avec le monde extérieur,
– les parents posent les conditions de vie commune sans consultation,
– les parents ne sont même pas les vrais parents, ils sont en fait des étrangers,
– Le jeune a été adopté de force et contre son gré,
– les faux parents ont fait venir leurs enfants dans la maison qui se liguent contre le jeune et lui font des menaces,
– les faux parents propagent de fausses rumeurs dénigrantes à propos du jeune dans la famille ainsi que dans le voisinage pour l’isoler et éviter qu’il se fasse des amis,
– le jeune était dans la maison AVANT les faux parents,
– les faux parents ont prit le nom du jeune pour faire accroire qu’il n’est pas chez lui et qu’eux sont les propriétaires légitimes,
– Les faux parents réclament la moitié de la paie du jeune et ne lui donnent qu’un peu d’argent de poche en retour (la péréquation) et rien d’autre,
– les faux parents prennent bien plus d’argent du jeune que ce que lui leur donne,
– avec l’argent qui lui reste, le jeune doit encore payer sa part pour la maison, son épicerie, ses études, ses vêtements, ses soins, etc.
– la maison et la propriété sont amplement grandes pour offrir son chez-soi au jeune tout en laissant de la place aux autres ailleurs.
Donc :
– Ce sont les faux parents qui doivent quitter la maison et pas le jeune puisqu’il est bel et bien chez-lui.
Canada Libre : Pourquoi le jeune tolère-t-il cela ? Parce qu’il n’est pas conscient de la situation !
Simon Rancourt : Et qu’il n’est pas conscient qu’il est prisonnier.
Canada Libre : C’est seulement pour ça qu’il est prisonnier ; parce qu’il n’est pas conscient.